Étiquette : L’École de l’Élite

Bilan – Mai 2020

 

Bonjour à vous lecteurs et lectrices,

C’est officiel ! Nous pouvons nous retrouver sur Instagram dès à présent ! @IleanaMetivierAuteure 🙂 Au menu : mon actualité d’auteure, mes dernières chroniques littéraires et peut-être même quelques photos persos pour que nous fassions plus ample connaissance ! Suivez le lien pour vous abonner ! 

« L’École de l’Élite » devient… « L’Élite ». Pour une question d’harmonie entre les différents volets de ma trilogie, le titre a donc subi une légère modification ! Côté écriture, « L’Élite », donc le premier tome de « Terre noyée », se trouve actuellement sous l’œil expert de ma correctrice professionnelle, Sandra Vuissoz. Pour voter en avant-première pour votre couverture préférée, je vous invite à vous inscrire à ma newsletter !

Et un deuxième récit bouclé pendant le confinement ! C’était un projet un peu fou, de ceux qui trainent dans nos tiroirs pendant des années… mais nous l’avons fait ! Ma meilleure amie et moi-même avons apposé un point final à notre roman à quatre mains ! Une belle romance qui devrait paraitre d’ici la fin de l’année ! <3

Je vous espère en forme, à profiter de l’ombre rafraichissante et apaisante des arbres ou au contraire, à faire le plein de rayons de soleil !

Iléana

Extrait – mars 2020

Il y a tout juste une semaine et demie, j’ai repris l’écriture. C’est en partie grâce à mon amie et auteure Mylène Ormerod, nous nous motivons mutuellement tous les jours à écrire quelques mots. Ça me fait un bien fou !

Je n’ai pas pour habitude de partager mes écrits avant qu’ils ne soient publiés, ou au moins, avant les nombreuses relectures et corrections qui font partie intégrante de l’aventure de l'(auto)-édition. Mais voilà, toujours grâce à Mylène, j’ai décidé de vous dévoiler quelques mots de mon prochain roman : Terre noyée, tome 1 : L’École de l’Élite. C’est partie !

 

Les vagues gonflées par le vent s’écrasaient avec fracas en contre-bas, l’écume me fit penser à ce dessin dans l’encyclopédie des créatures magiques : celui d’un loup-garou bestial, de la bave mousseuse plein les babines.
Je me tournai vers Mattew, absorbé par le paysage. Qu’était-il ?
— J’adore venir ici par ce temps. On dirait que le ciel et la mer ne forment qu’un, comme si tout l’univers était sens dessus dessous.
— C’est époustouflant, c’est vrai. Je t’avoue que je ne suis pas rassurée, c’est tellement immense, tellement puissant. Il a balayé notre peuple, toutes nos technologies, toutes nos richesses…
— Pour nous ramener à l’essentiel : la vie. Nous faisons partie de cette Terre, Annaëlle, les générations précédentes l’avaient oublié, le rappel a été douloureux, mais nécessaire. La planète crevait.

Et pour illustrer cet extrait, une jolie photo de StockSnap téléchargée sur Pixabay.

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